碧云天,黄叶地,
秋色连波,波上寒烟翠。
山映斜阳天接水,
芳草无情,更在斜阳外。
黯乡魂,追旅思,
夜夜除非,好梦留人睡。
明月楼高休独倚,
酒入愁肠,化作相思泪。
Nuages bleus dans le ciel,
Feuilles jaunes sur la terre.
Couleurs d’automne dans les vagues,
Sur l’onde, le vert d’une brume froide.
Montagnes qui embrasent le soleil couchant,
Ciel qui s’unit à l’eau
L’herbe, folle, ne ressent rien,
Elle pousse loin du soleil couchant
Le mal du pays
Poursuit le voyageur
Nuits sans répit,
Doux rêves apaisants
Au clair de lune, à la pagode,
Je n’irai plus seul
Et le vin, dans mon ventre triste
Se change en larmes nostalgiques
dimanche 28 septembre 2008
samedi 20 septembre 2008
Une strophe de Li Qingzhao
花自飘零水自流。
一种相思,两处闲愁。
此情无计可消除,
才下眉头,却上心头。
Les pétales s’envolent, les eaux froides s’écoulent
Unis par la pensée, en deux lieux séparés
Ce sentiment jamais ne pourra s’effacer
Tombant de mes sourcils, il pèse sur mon coeur
一种相思,两处闲愁。
此情无计可消除,
才下眉头,却上心头。
Les pétales s’envolent, les eaux froides s’écoulent
Unis par la pensée, en deux lieux séparés
Ce sentiment jamais ne pourra s’effacer
Tombant de mes sourcils, il pèse sur mon coeur
Libellés :
Li Qingzhao 李清照 (1083-1151)
lundi 1 septembre 2008
Herbes - Bai Juyi
離離原上草, Brillante, l'herbe dans la plaine
一歲一枯榮, Chaque année jaunit puis verdoie
野火燒不盡, L'incendie souvent la rudoie
春風吹又生。 Au printemps le vent la ramène
遠芳侵古道, Son parfum envahit les rues
晴翠接荒城, Son azur unit les cités
又送王孫去, Et quand, Monsieur, vous nous quittez
萋萋滿別情。 Ma peine est comme l'herbe drue
一歲一枯榮, Chaque année jaunit puis verdoie
野火燒不盡, L'incendie souvent la rudoie
春風吹又生。 Au printemps le vent la ramène
遠芳侵古道, Son parfum envahit les rues
晴翠接荒城, Son azur unit les cités
又送王孫去, Et quand, Monsieur, vous nous quittez
萋萋滿別情。 Ma peine est comme l'herbe drue
Libellés :
Bai Juyi 白居易 (772 - 846)
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